L'étanchéité à l’air ou perméabilité à l'air d'une construction caractérise la sensibilité du bâtiment vis-à-vis des écoulements aérauliques parasites causés par les défauts d'étanchéité de son enveloppe, ou plus simplement tout défaut d'étanchéité non lié à un système de ventilation spécifique.
Elle se quantifie par la valeur du débit de fuite traversant l'enveloppe sous un écart de pression donné.
La réglementation thermique actuelle nommée RT2012 exige une perméabilité ne dépassant pas 0.6m3/heure/m² de paroi déperditive (hors plancher bas).
La future norme qui devrait paraître en 2018 baissera ce seuil à 0.4m3, ce niveau est atteignable à condition d'avoir été bien conseillé, d'avoir l'habitude, et surtout d'être minutieux.
Par exemple certaines maisons, dont les entreprises ont été suivit ou conseillée par G.L.E on atteint des niveaux à 0.07m3/h !!!
Atteindre ce niveau n'est pas nécessaire, mais la perméabilité à l'air des maisons reste un des enjeux majeurs de la RT2012, et un défi à relever, qui ne saurait se passer d'une bonne coordination de chantier.
Un bâtiment dont la perméabilité à l'air est mauvaise peut faire augmenter ses besoins de chauffage de plus de 10 kWhep/m²/an !!
Les fuites d'airs engendrent une perte d'efficacité du système de ventilation simple et surtout double flux.
Ce système étant mis en place, on peut mettre le bâtiment en dépression, mais au préalable, il faut colmater les ouvertures prises en compte dans l'étude thermique, c'est à dire généralement, les entrée d'air et les sortie d'air des VMC.
Les deux parties étant dissociées.
Les fuites sont alors corrigées si le test n'est pas satifaisant. Il est à noté, que même si le test est bon, les fuites d'air trouvées pourront être corrigées afin d'améliorer l'efficacité énergétique du bâtiment testé.
La recherche de fuites peut se faire avec différents instruments, dont la caméra thermique si nécessaire.
Préalablement, on a obturé les ouvertures prises en compte dans l'étude thermique, principalement les entrée d'ait et les extractions liées à la VLe test de la porte soufflante.
Ce qu'il faut savoir : au bout de 10 à 20 secondes, on a déjà une approche du résultat final, et un opérateur honnête vous dira tout de suite si le test est concluant, dans le cas contraire, on peut d'abord corriger les fuites pour ensuite refaire le test et obtenir de bons résultats.
Les opérateurs « low cost » ne vous le dise pas il restent bien sûr dans la légalité : test, recherche de fuites, et rapport.mais il reviendrons et vous referons payer, un test de porte soufflante alors que souvent les fuites peuvent aisément être rectifiées.
Chez G.L.E, nous considérons que tout doit être fait pour avoir le test, et les corrections, du moment qu'elles sont définitives peuvent être apporté.
Bien entendu, dans certains cas, les fuites ne peuvent être corrigées ( artisan ou matériel absent, travaux trop long etc.) dans ce cas, l'opérateur devra revenir et refacturer un test avec une moins value.
L'enveloppe étant correctement traitée depuis la RT2012, les techniciens du bâtiment se sont rendu compte qu'il restait un point faible commun à de nombreuses habitations : LA VMC.
Celle ci est en effet souvent peu efficiente de part sa qualité et sa mise en œuvre.On se retrouve donc dans des bâtiments très efficaces thermiquement, très étanche à l'air, mais qui ventilent mal…
Pour la future norme rt 2020, le test de ces réseaux sera donc obligatoire.L'entreprise G.L.E effectue dors et déjà ces test, et nous pouvons également vous les proposer.